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 | Sujet: # Peter MAYERS }  24.07.08 16:32 | |
| « Who I really am. » Prénom(s) et nom : « Mayers, Peter Alexander Presley. Le premier était le prénom de l'un de mes grand-pères. Alexander est celui de mon père. Rien de très original, n'est-ce pas ? Mais c'est l'une des traditions de la famille que de donner les prénoms des ancêtres aux nouveaux-nés. Pour ce qui est de Presley, je n'ai aucune idée du pourquoi du comment. Je n'ai jamais cherché à savoir, d'ailleurs. »
Âge et date de naissance : « 21 ans, 14 février. C'est drôle, n'est-ce pas ? Moi qui ne croit pas à l'amour, moi qui n'arrive pas à me faire à l'idée d'un jour pouvoir me caser avec quelqu'un, pour toujours... Et bien je suis né le jour de la Saint-Valentin. Le jour "des amoureux". En fait, cela n'a rien de drôle. »
Lieu de naissance & nationalité : « Irlande, Anglaise. Je suis d'origines irlandaises. Cependant, j'habite à Londres. Et oui, c'est l'une des contraintes du travail de mes parents. Alors j'aime le pays où je réside, mais je resterai toujours fidèle à mes origines. C'est pourquoi je me sens mieux encore en Irlande. »
A-t-il des supposition concernant l'existence d'êtres à queue de poisson ? « Les sirènes, c'est d'elles dont vous parlez ? Ah, la question que tout le monde s'est posé un jour ou l'autre ! Existe-t-il ou non des êtres possédant une queue de poisson et qui, à la tombée de la nuit, viendraient sur terre pour séduire les hommes et leur faire des enfants dans le dos ? Personnellement, j'ai toujours fait semblant de ne jamais y avoir cru. La première fois que l'on m'a raconté cette histoire, je devais avoir cinq ans. J'ai connus différentes versions de cette même histoire et certaines semblaient complètement loufoques. Pourtant, j'avais en moi l'intime conviction que tout cela était basé sur quelque chose de réel. Ne dit-on pas que les légendes se fondent autour d'un fait ? Et bien je pense qu'il en va de même pour les sirènes. Sont-elles vraiment ce que l'on dit d'elles ? Je ne sais pas. Je sais seulement, au fond de moi, que quelqu'un ou quelque chose de différent doit partager les mers avec les poissons. »
A-t-il succombé au charme d'un/une bel/belle homme/femme ? « Vous savez, ce n'est pas parce que l'on ne croit pas au grand amour que l'on ne peut pas tomber sous le charme d'une personne. Bien sûr, il m'arrive de succomber mais ce n'est jamais que passager. A vrai dire, j'ai déjà été amoureux. Et oui, j'ai bel et bien un coeur. Mais il est brisé. Brisé justement par la seule fille dont j'ai été amoureux. J'avais dix-huit ans, j'étais encore insouciant. Et puis elle est entrée dans ma vie, sans prévenir et a tout saccager. Voilà, maintenant vous savez. J'espère que vous avez bien saisi, car je ne le répèterai pas deux fois. »
Quel est son plus grand désir ? « Mon plus grand désir... Et bien j'ai beaucoup d'ambition en ce qui concerne mes études. Je pourrais donc vous affirmer avec une quasi-certitude que mon plus grand désir est de réussir mes études avec des notes élevées, et de me trouver un travail dans le secteur que je veux. Un poste important, qui me ferait m'épanouir et, si possible, gagner beaucoup d'argent. »
A-t-il peur de mourir ? « Je vous l'ai déjà dit, je crois qu'il est possible que quelque chose d'autre que les poissons habitent les mers. Maintenant, ai-je peur d'être le prochain à mourir ? Je ne crois pas non. Je n'éprouve presque jamais de peur. Admettons que ce que l'on dit est vrai, que les hommes qui découvreraient l'existence des sirènes mourraient noyés... Admettons encore que je verrais de mes yeux la preuve que les sirènes existent bel et bien. Je ne crois pas qu'on retrouverait mon corps sur la plage, non. Je suis assez intelligent pour ne pas me mettre en danger de cette façon. » « The story of a mortal. » Sa plus belle rencontre :
« Ma plus belle rencontre à ce jour est sans contestation possible celle que je vais vous conter. Elle remonte à plusieurs années. Je devais avoir dix-huit ans, ou presque. Je marchais paisiblement dans les rues de Londres. Si j'avais l'air renfrogné, c'était parce que je venais d'avoir une dispute avec mon père. Il m'accusait d'être immature et incapable de prendre mes responsabilités. Il me trouvait irresponsable, hein ? Et bien j'allais lui montrer qu'il était encore loin d'avoir déjà tout vu. J'entra dans le premier pub qui se présenta à moi. En voilà une bonne idée. J'allais prendre ma première cuite. A dix-sept, je n'en avais pas encore eu "l'occasion". En effet, jusque là, je respectais assez bien les contraintes de l'éducation assez difficile que mes parents exerçaient sur moi. Mais là, j'allais faire tout le contraire. Arrivé à l'intérieur du pub, je regardai autour de moi un instant. Je n'étais jamais rentré dans ce genre de bar, j'étais un peu perdu. Quoiqu'il en fut, je me dirigea vers le comptoir et je m'y assis. Ensuite, une serveuse s'adressa à moi, me demandant ce que je désirais consommer et je répondis, sans réfléchir, qu'un verre de l'alcool le plus fort qu'elle avait me suffirait. Elle sourit et me servit un breuvage légèrement trouble. Par sa transparence, je le pris pour de l'eau. Alors je leva le verre et le vida, d'un seul coup. La boisson froide me brûla la gorge et je failli étouffer. Je n'avais jamais bu d'alcool aussi fort. Je recommanda la même chose. Cette fois, cependant, je le bus plus lentement. Après avoir fini le deuxième verre et recommandé un troisième, je commença à discuter avec la serveuse. Elle m'écoutait avec une attention douteuse mais je ne posa pas de question ; mon esprit était bien trop embrumé à cause de la boisson. Alors que la serveuse passait son bras autour de ma taille, elle fut interrompue par une jeune fille. La jeune fille en question paraissait avoir environ une quinzaine d'années. Son visage m'était familier. Elle était blonde et tenait dans ses mains quelque chose que je ne reconnu pas mais qui ressemblait à des petites papiers. Je ne compris ce qu'elle voulu à la serveuse mais celle-ci l'envoya balader. Je sentis à nouveau la serveuse passer un bras autour de ma taille et, en même temps, la blonde, qui semblait seulement m'avoir remarqué s'exclama...
ELLIE « Peter ! Qu'est-ce tu fous là ? Si ton père apprend que tu es venu ici... »
PETER « Eh mais attends, t'es qui toi d'abord ? »
ELLIE « Mais enfin, Peter, c'est moi, Ellie Bowen ! Tu ne me reconnais pas ? On s'est déjà vus deux ou trois fois, tes parents sont amis avec les miens. »
Celle qui disait s'appeller Ellie semblait peinée que je ne la reconnaisse pas. Etait-ce ma faute si je ne mémorisais pas facilement un visage ? Sans oublier que, à ce moment-là, j'étais complètement grisé par l'alcool. Alors que j'essayais de me rappeller qui elle était, je sentis à nouveau que quelqu'un passait son bras sous les miens mais, cette fois, ce n'était pas la serveuse mais la petite blonde. Je ne comprenais pas bien ce qu'il se passait, néanmoins je cru bon de faciliter la tâche d'Ellie en essayant au maximum de tenir sur mes pieds tout seul. Cela ne se révela pas facile mais, à deux, on arriva à franchir la porte. Arrivés dans la rue, Ellie me laissa m'asseoir par terre pour reprendre mes esprits. Elle prit place à côté de moi tout en disant que j'avais de la chance, qu'elle ne dirait rien à mon père pour ce qu'elle avait vu, et, surtout, que j'avais eu de la chance qu'elle arrive à temps avant que la serveuse ne me pique mon portefeuille. C'était donc ça qu'elle essayait de faire ? Et moi qui croyait qu'elle voulait me prendre dans ses bras. Désillusion. Mais je n'avais pas encore remercié ma "sauveuse". Je ne sais pas si ce fut l'alcool qui me fut agir ou des sentiments toujours cachés au plus profond de moi mais, alors qu'Ellie se retourna vers moi et plongea ses yeux dans les miens, j'attrapa doucement son visage entre mes mains et je l'embrassa.
Cela va vous paraître étrange, peut-être, mais c'est ce baiser qui déclencha une profonde amitié entre nous. Non, nous ne sommes pas sortis ensemble. Mais nous sommes maintenant de très bons amis et je regrette de ne pas avoir porté plus d'attention à Ellie avant cette fameuse journée. Car il est vrai que nous nous étions déjà vus plusieurs fois, mais notre vraie rencontre s'est déroulée ce jour-là, dans ce bar. Le "rétablissement" fut un peu difficile et mon père, bien qu'Ellie n'ait rien dit, devina ce qui s'était passé. Je fut sévèrement puni, mais je garde tout de même un souvenir inoubliable de ce jour. »
Ebauche de caractère : « Si je ne devais vous dire qu'une seule chose sur Peter, ce serait ceci : Peter est est quelqu'un de très complexe. Il est impossible de deviner, par exemple, comment il va réagir à telle ou telle situation. Il peut très bien se montrer susceptible lorsqu'on lui fait une remarque et, la minute d'après, se montrer compréhensif pour le même genre de chose. Il est aussi assez lunatique. Cela peut être dérangeant, quelques fois, car il peut avoir des sautes d'humeurs assez spectaculaires. Mais lorsqu'on le connaît, on arrive à comprendre ses réactions. Car, pour tout vous dire, Peter est quelqu'un de sensible, parfois un peu perdu, certes. Ce qui explique, bien que n'excuse pas, son comportement, quelques fois. Et c'est cela qui fait qu'il est adorable. Mais ne lui dites jamais que je vous ai dit ça ! »
Ellie Bowen, sa meilleure amie.
« Peter Mayers... Ah oui, Peter ! Un garçon très brillant, vraiment. Très intelligent, très travailleur... Je me souviens d'une chose qu'il m'avait dite, peu après son entrée à Oxford. Il voulait prouver à tout le monde de quoi il était capable, il voulu mériter le fait d'être là. Ce garçon sait ce qu'il veut et est déterminé à l'obtenir. Et il ne renoncera pas avant. Je finirai en vous faisant une confidence ; il mérite vraiment sa place parmi les meilleurs ! »
X, un de ses professeurs d'Oxford.
« Mon cher Peter... De mes ex, je crois que c'est avec lui que je me suis le plus amusée. Bon, d'accord, il avait dix-huit alors que j'en avais vingt-et-un lorsque nous sommes sortis ensemble. Mais il m'a immédiatement plu. Vous savez, il faisait preuve d'une maturité incroyable et, pourtant, il était impossible de s'ennuyer avec lui. Il savait faire preuve d'une profonde sagesse et, un instant plus tard, d'un épicurisme modéré. Il aimait profiter de la vie et de toutes ses richesse et ne s'en privait pas. Je me souviens aussi que ses décisions étaient toujours imprévisibles, tout en donnant l'impression d'être mûrement réfléchies. Bref, j'ai savouré notre relation. Même si c'est moi qui ai jugé bon de l'écourter, mais c'est une autre histoire... »
X, une de ses ex-petites amies.
« Je ne suis peut-être pas la mieux placée pour parler de mon Peter. Néanmoins, je serai la plus objective possible. Peter n'est pas un garçon sans aucun défaut, mais je lui en connais peu. Il est vrai qu'ils peuvent cependant se montrer parfois plus agaçants que n'importe quels autres. Par exemple, Peter est un garçon très rancunier, il ne pardonne que très rarement à ceux qui osent lui faire un mauvais coup. Peter est également quelqu'un de fier. Sans doute trop, quelques fois. En effet, il ne s'autorise jamais aucun moment de faiblesse, ce qui fait que certaines personnes le trouvent parfois très froid. Cependant, cela ne l'a jamais empêché de s'intéresser aux autres. En effet, il peut aussi se montrer très à l'écoute. Mais, pour cela, il faut que ça vienne de lui car s'il a décidé qu'il n'écouterait personne et n'en ferait qu'à sa tête, il sera presque impossible de lui faire changer d'avis. »
Sa mère. « On earth. » Prénom/pseudonyme : Jessica/Honey.
Âge : 16 ans & toutes mes dents ! =D
Fille ou garçon : Fille.
Pays : Belgique.
Avatar : William Moseley ! =)
Où avez-vous découvert le forum ? Sur Hominum-Revelio.
Comment le trouvez-vous ? Magnifique ! J'adore l'intrigue ! =)
Dernière édition par Peter Mayers le 31.07.08 12:21, édité 12 fois |
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